Grand Corps Malade
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5 collab' qui donnent de la force aux paroles de Grand Corps Malade

Habitué des duos, Grand Corps Malade nous offre des collaborations qui ajoutent encore un peu plus de force à ses paroles. Morceaux choisis.

"On a pris le temps" avec Ben Mazué et Gaël Faye

Dernière collaboration en date : l'EP Éphémère à la fois touchant et second degré (écoutez Qui a kidnappé Benjamin Biolay et vous allez comprendre) des 3 frères de plume. On y trouve notamment le titre On a pris le temps. Et nous, on prend le temps d'écouter ces amis qui taillent la route pour s'éclipser et accoucher d'un bijou.

"Derrière le brouillard" avec Louane

Par le passé, Louane et Grand Corps Malade ont tous les deux vécu des périodes sombres. Cette chanson nous rappelle les stigmates de la vie et nous colle au coeur l'espoir que tout peut changer. C'est un hommage au courage, à la résilience mais aussi à la musique capable de panser les plaies.

"Nos plus belles années" avec Kimberose

Également issu de l'album Mesdames constitué de duos entre Grands Corps Malade et des femmes fortesNos plus belles années évoque la mélancolie. La mélancolie qui, à force de se replonger dans "les souvenirs apaisants" avec tendresse devient plutôt de la nostalgie. Et peut alors s’échapper la tristesse...

 

"Mais je t'aime" avec Camille Lellouche

Mais je t'aime est en fait la carte de visite de Mesdames, cet album de duos avec des femmes. Depuis sa sortie le 19 juin 2020, le clip de Grands Corps Malade et Camille Lellouche a été vu 117 millions de fois.

Si l'humoriste est plus connue pour ses vannes que pour ses larmes, c'est bel et bien en pleurs qu'elle termine la chanson. "La veille du clip, la personne pour qui j'avais écrit la chanson a récupéré ses affaires chez moi. Mon émotion n'est pas feinte" expliquait-elle au Figaro. C'est dire si les histoires d'amour passionnelle peuvent parfois laisser des traces. 

 

"Ça peut chémar" avec John Pucc'Chocolat

Vous ne vous souvenez peut-être pas mais l'un des tout premiers duos de Fabien Marsaud de son vrai nom, c'est avec le slameur Jean-Jacques Ido, alias John Pucc' Chocolat. C'était en 2006. Dans Ça peut chémar, ils parlent de leurs rêves, de leur envie de percer et de leur niaque

Ça peut chémar est d'ailleurs aussi le nom du collectif co-fondé par Grand Corps Malades. Leur objectif : offrir une bulle d'expression aux artistes. Chaque mois, ce collectif proposait une soirée de type "cabaret urbain" avec du chant, du slam, de l'impro, de la danse, du stand-up... L'énergie du groupe n'a jamais été bien loin du poète, celle-là même qui a donné des ailes.